1985



En début d'année, chacun travaille à son projet solo, Lancaster en Australie, Rossi et Parfitt, séparément, vivent sans se rencontrer à Londres. Le groupe phénoménal qu'est Status Quo semble mort et les fans se préparent peu à peu à une annonce officielle de dissolution d'autant plus que lorsque Rossi est interrogé, au début de l'année, sur la sortie du prochain album de Status Quo, il répond que le groupe est loin de posséder assez de titres pour donner naissance à un album et que le temps actuel est employé aux futurs albums solos. Voilà qui a le mérite d'être clair ! On bosse sur son propre album, pour le groupe, on verra après ! En Suisse, 'The wanderer, atteint la 10ième place des Charts, le 6 janvier. Francis Rossi passe le début de l'année à écrire des morceaux avec Bernie Frost. 'J'ai toujours voulu faire quelque chose avec Bernie car j'aime travailler avec lui. Je sais que certaines personnes pensaient que si mon album et celui de Rick avaient eu du succès, cela aurait signifié probablement la fin de Status Quo. Personnellement, je pensais autrement. Il me semblait que si nos albums avaient du succès, cela aurait renforcé Status Quo dans son ensemble.' souligne t-il. Un nouveau livre sur le livre de 126 pages intitulé 'Rocking all over the world', écrit par Neil Jeffries, est édité. Au mois de février, 'More from the road' , seconde cassette du concert d'adieux, voit le jour. On peut néanmoins déplorer les absences de 'Paper plane', 'Don't drive my car' et 'Rain'. Par contre, étonnamment, 'Roll over lay down', déjà présent sur 'End of the road' est également intégré. Pendant ce temps, '12 gold bars vol.2' est certifié en or devenant le quinzième disque métallisé de Status Quo.  Le 1er avril, revenant d'une soirée trop arrosée, Rick Parfitt est arrêté par la police londonienne et se voit retirer son permis de conduire, pour la troisième fois et pour quatre ans. Il se voit affliger une amende de 5.000 francs qu'il est dans l'incapacité de payer. 'Son compte bancaire est à découvert parce que son chèque de royalties pour une somme difficile à estimer n'est pas encore arrivé' déclare son avocat. Complaisante, la justice anglaise lui accorde un délai de huit semaines pour s'acquitter de sa dette. Au sortir du tribunal, Rick qui avait déjà été épinglé pour fait similaire, en 1979 se contente de déclarer : 'Cette sanction est un peu lourde'. Cette péripétie ne l'empêche pas de participer, comme invité, à un concert de Diesel Band, le 6, à Greyhound. Dans le même temps, il entre en studio, en compagnie de Pip Williams. 'Après le End of the road tour', nous n'avons fait que 'The wanderer' car Rossi ne voulait plus travailler et que Rick traversait une mauvaise période. Il m'a demandé de venir d'Australie afin de l'aider, ce que j'ai fait. Nous avons, alors, rendu visite à nos comptables. Il a déclaré, par la suite, que c'était faux. Voilà comment il a changé les choses. Il y a aussi l'histoire que je voulais former Status Quo Mark 2 sans Rossi. C'est faux, je n'aurais jamais fait ça. C'en est risible. Tout ce que Rossi voulait faire, c'était s'asseoir devant un ordinateur ou une boîte à rythme et composer de gentillettes chansons avec Frost. Voilà pourquoi il ne voulait plus travailler car il avait Frost, Kircher et Bown et qu'il essayait d'utiliser le nom de Status Quo pour lancer son propre groupe avec eux. Ni Rick ni moi n'étions concernés par ce projet. C'est vraiment ce qu'il a essayé de faire. Alors, j'ai démissionné, c'était la fin de Status Quo' explique Lancaster. Le 3 mai, Francis Rossi sort le simple " Modern Romance ", premier extrait de son futur album solo. Il est facile de qualifier ce titre comme une chanson de variété dans la lignée de 'Marguerita time'. Débarrassé du fardeau 'Status Quo', Francis espère bien en faire un tube du même acabit. Malheureusement pour lui, 'Modern Romance' ne se classe que n°54 dans le top singles pour seulement quatre semaines de présence. On peut retrouver dans le clip vidéo la pulpeuse Samantha Fox. Le second single, 'Jealousy' passe, lui, totalement inaperçu. A l'évidence, on a beau être le lead guitariste d'un des groupes les plus célèbres d'Europe, cela ne suffit pas à vendre. Rossi l'apprend à ses dépends et commence à songer, alors, à faire 'revivre' Status Quo. 'Les albums solos sont O.K jusqu'à une certaine mesure mais je peux voir que ce c'est pas le genre de chose que les gens acceptent facilement' confesse t-il. L'album, lui, ne sortira jamais. Heureusement, peut-on penser car, en cas de succès, quelle aurait été la réaction de Francis ? Aurait-il penser à reformer Status Quo ? On peut penser que non !

Depuis le début de l'année, Bob Geldof travaille à l'élaboration du concert du Live Aid et pense sérieusement à Status Quo pour en faire l'ouverture. Il ne tarde pas à contacter le management du groupe. Francis Rossi se souvient de ce moment en ces termes : "J'ai dit à Bob que nous ne serions pas assez biens, nous ne sonnerions pas bien, nous n'avions pas joué depuis une année et nous n'avions pas répété. Il m'a répondu 'Peu importe que vous sonniez bien ou pas, l'important est que vous soyez là'. " Le 9 février, lors de la cérémonie des Brits Award, Rossi est invité pour remettre une récompense au groupe Wham. Geldof, ici présent, en profite pour parler, à nouveau, du projet avec Rossi. Ce dernier se montre moins réticent mais ce n'est que quelques jours après qu'il donnera son accord, on ne sait trop pour quelle raison. Lancaster déclare lui de son côté que Rossi ne voulait pas faire le Live Aid et que c'est lui qui l'a plus ou moins obligé à jouer en lui disant qu'il se chargerait de faire savoir à tout le monde qu'il ne voulait pas participer à une œuvre de charité ! Le torchon brûlait à nouveau entre les deux. Alors, en ce mois de juillet, Alan Lancaster est de retour à Londres et vit chez Rick Parfitt qui traverse une grave crise morale et financière. Sa situation familiale n'est guère meilleure puisqu'il est divorcé d'avec sa femme Marietta et que sa dernière petite amie, Debbie Ash, vient de le quitter. " A cette époque, j'ai sérieusement pensé au suicide " affirmera t-il. Parfitt décide alors de contacter son premier grand amour qui n'est autre que Patti qui l'avait quitté en 1972 et qui depuis, vivait en Australie. Nous sommes au mois de juin et Patti lui promet de revenir en Angleterre dès le mois suivant. Seulement, Rick ne peut plus attendre et Patti, sur son insistance, débarque à Londres le 24 juin. Le soir, Rick est arrêté pour conduite sans permis et passe la nuit dans un poste de police londonien, Colin Johnson refusant de venir le chercher à quatre heures du matin. Heureusement, Rick avait réussi à cacher, dans sa voiture, le gramme de cocaïne qu'il avait sur lui. A cette époque, Parfitt enregistre son album solo nommé 'Recorded delivery'. Il y dédit à Patti, le titre 'Show me the way'. Le soutien du bassiste lui apporte un certain réconfort, les deux amis étant très proches l'un de l'autre, à cette époque. " Je vivais avec Rick dans son appartement de Battersea. Nous écrivions des titres pour le futur album et enregistrerions des démos au studio Gaslight de Brixton. Après une de ces séances, nous avons donné un concert surprise, Rick et moi, au Marquee Club, avec John Coghlan et son groupe ". souligne Lancaster. En effet, le 9 juillet, Parfitt, Lancaster et Coghlan sont de nouveau réunis pour la plus grande joie des fans du groupe. Une vidéo pirate est extraite de ce concert qui démontre, si besoin en était, que John n'a rien perdu de son habileté derrière ses fûts. Rossi n'est pas convié à la fête. Il s'est toujours refusé, dans le passé, de jouer avec Diesel Band en prétextant prétentieusement à Coghlan qu'il s'attirerait l'ensemble des projecteurs. D'ailleurs, lorsqu'il est interviewé par la B.B.C au sujet de ce concert, il répond : 'Un concert au Marquee ? Quel concert ?'. Mais Parfitt est vraiment affecté par la disparition probable de Status Quo. 'Je ne savais pas ce que Francis voulait et nous n'étions plus assez copains à l'époque pour en discuter. J'étais tiraillé entre Francis et Alan et d'après ce que je voyais, Francis ne voulait plus travailler du tout avec nous. Je ne comprenais pas que le problème était la présence d'Alan dans le groupe'. avoue t-il.  Au mois de juin, dans les bureaux de Quarry Productions, Alan, Rick et Francis se réunissent pour ce que l'on peut appeler leur dernière réunion de travail. Il n'est pas là question de répétition mais bel et bien de l'avenir de Status Quo. Mais les discussions n'aboutissent pas à grand chose de concret. Il est néanmoins vaguement question de commencer les enregistrements du futur album courant septembre mais reste à trouver un studio et surtout d'avoir l'envie nécessaire pour travailler encore ensemble. Lancaster propose aux autres de travailler en Australie, solution que Rossi et Parfitt refusent catégoriquement. Pourtant, Parfitt et lui travaillent ensemble, à cette époque. Ils écrivent des morceaux et fréquentent le Gaslight studio de Londres. Six démos sont enregistrées. Quatre titres sont sortis de ces bandes : 'She's a mystery', 'It could I've been you', 'Don't throw our love away' et 'One of a kind'. Ce dernier titre comporte un solo de saxophone ce qui aurait constitué une première pour Status Quo. A cette époque, Francis et Rick font découvrir leur album solo à leur copain de bassiste. 'Francis et moi étions assis dans sa BMW lorsqu'il m'a fait écouter son album. Je lui ai alors dit que c'était bon et que son album possédait un certain charme. J'ai habité, un moment, chez Rick, alors, j'ai vraiment pu écouter son album. Comparé à celui de Francis, son matériel était plus grossier, plus frustre. Il y avait de bons passages mais l'ensemble n'était pas assez bon'.


Quelques jours avant ce fabuleux rassemblement de stars à Wembley, Francis, Rick, Alan, Pete et Andy se retrouvent pour répéter les trois morceaux prévus pour ce show. 'Ca n'a duré qu'environ dix minutes. A ma grande surprise, Alan fut d'accord pour faire ce show. Ce n'était pas que la blessure entre lui et Francis fut guérie. Ils disaient qu'ils voulaient bien faire ce concert mais ça ne signifiait pas que quelque chose avait changé entre eux'. Souligne Rick. C'est donc le samedi 13 juillet et sur l'appel insistant de Bob Geldof, que Status Quo fait l'ouverture du " Live Aid " avec " Rocking all over the world " qui deviendra l'hymne du concert. Le groupe y interprète, outre " Rocking all over the world ", " Caroline " et " Don't waste my time ". Coghlan confie avoir regardé le show à la telévision et avoir un sentiment attristé de ne pas avoir été appelé à participer au sein de Status Quo. Triomphateur, le Quo émerveille à nouveau les 72.000 spectateurs de cet immense concert. C'est alors la dernière apparition live d'Alan Lancaster et de Pete Kircher alors qu'un déclic vient de se produire dans les têtes des deux guitaristes. La scène leur manque, Status Quo leur manque !  Pendant ce temps, flairant la juteuse affaire commerciale et sur la lancée du Live Aid, Phonogram réédite les single et album 'Rocking all over the world' parus sept ans auparavant. Mais les ventes demeurent faibles. En août, Rossi, Parfitt et Bown accompagnés de Pip Williams se réunissent dans un studio d'Oxford et évoquent le retour du Quo. D'autant plus qu'il devient vital pour Parfitt de retravailler, ses revenus n'étant plus que d'environ 200 Livres par semaine ce qui est très insuffisant pour le train de vie qu'il mène. Devant cette situation, Patti trouve un emploi de manucure à Streatham ce qui attriste profondément Parfitt. Mais le besoin d'argent se fait de plus en plus intense. Johnson décide, alors, de mettre en place ce qu'il appelle 'An evening with the music of Status Quo'. Rossi et Parfitt ont donné leur accord. Les deux, rémunérés 600 £ par soirée, racontent, lors de réunions organisées avec des fans, la vie et la carrière de Status Quo.  Mais si le Live Aid a fait ressurgir quelques envies chez Rossi et Parfitt, c'est également le cas chez Phonogram, qui, voyant l'engouement qu'a pu créer Status Quo, lors de la grandiose manifestation, somme le groupe de lui produire rapidement un nouvel album. En cas de non livraison rapide, la sentence sera simple. Le groupe sera traduit en justice pour non respect de contrat. Le couteau est donc sous les gorges et une solution rapide doit être trouvée. La grosse différence qu'il y a entre Rossi et Parfitt, c'est que ce dernier est prêt à entrer, à nouveau, dans l'univers morose du groupe, du moment qu'il y a du fric au bout. Ce n'est pas le cas pour Francis qui sait pourtant que seul le nom 'Status Quo' peut lui permettre d'avoir de confortables revenus mais travailler avec Alan est bien au dessus de ses forces. Phonogram n'en a cure des problèmes internes de Status Quo ce qu'ils veulent, c'est une nouvelle galette qui leur rapportera plein de petits pennys. Rick explique, cependant, le renouveau de Status Quo de la manière suivante : " Un jour, j'ai reçu un appel de la maison de disques me demandant un album en me rappelant les obligations du groupe. Alors, j'ai demandé à Francis de venir me voir pour en discuter. Nous avons commencé à discuter de choses et d'autres et pour la première fois, j'ai réalisé quel était son problème. Il ne voulait plus travailler avec Alan. Ceci a clarifié la situation. De plus, il pensait que j'étais du côté d'Alan. Alors, j'ai suggéré que si nous devions faire un album, il serait judicieux de le faire avec Jeff Rich et John Edwards, qui avaient travaillé sur mon album solo, et bien sûr Andrew aux claviers. Francis a accepté bien qu'il n'était pas chaud à l'idée de travailler avec des gens qu'il ne connaissait pas. Quand nous avons démarré les répétitions, çà a été très régénérant. Francis s'est senti, tout de suite, à l'aise avec les nouveaux. Pour la première fois, depuis des années, nous étions biens. Nous avions assez de matériel pour faire un album et Francis avait trouvé le titre 'In the army now' qu'il m'avait fait écouter dans sa voiture et je dois avouer que j'avais émis quelques réserves sur ce titre. Rhino et Jeff étaient si enthousiastes qu'ils rallumèrent la flamme chez Francis et moi. Pendant les répétitions, nous avons joué des vieux trucs comme 'Big fat mama' et 'Don't waste my time' et ça sonnait d'une manière formidable. Le groupe fut de nouveau en marche. Status Quo était gonflé à bloc, je ne pouvais le croire ".

Status Quo à la télévision allemande
Status Quo à la télévision allemande

Pour Phonogram, l'affaire est claire. Rossi et Parfitt représentent Status Quo et peu importe qui joue avec eux et c'est, avec enthousiasme, qu'ils octroient au groupe, la plus grande avance qu'ils ne leur aient jamais donnée. Au risque de se répéter, Parfitt, en claque une bonne partie : Manteau de fourrure pour Patty, Rolls-Royce (15.000 £) pour lui ! C'est le 16 septembre que commencent, comme prévu, les sessions d'enregistrement. Comme prévu ? Pas tout à fait car Lancaster et Kircher manquent à l'appel. Cette première rencontre entre les cinq membres se déroule dans un petit studio du sud de Londres appelé Candlelight. " Lorsque nous nous sommes réunis pour la première fois avec Jeff et Rhino, nous voulions leur montrer nos prestations scéniques et nous leur avons montré la vidéo 'End of the road'. C'était atroce. Nous n'avions pas réalisé à quel point, nous étions mauvais. Nous étions supposé leur montrer notre énergie et c'était comme si on leur montrait des morts sur une scène. C'était très embarrassant pour nous et nous leur avons dit d'ignorer çà ". souligne Rossi. Vertigo a, comme d'habitude, versé les avances permettant au groupe de financer les travaux. 'La maison de disques avait versé les avances. Ce qu'ils ne savaient pas c'est qu'ils allaient financer un disque fait sans moi. Ils ne l'ont découvert que lorsque j'ai attaqué Rossi et Parfitt' déclare Lancaster. L'enthousiasme étant, de nouveau, présent, le groupe enregistre, en septembre, quatre démos (In the army now, Speechless, Overdose et Naughty girl) sous le nom 'Status Quo' qui sont soumises à Vertigo. La maison de disques répond favorablement et projette de sortir le futur album en janvier 1986 ainsi que 'Naughty girl' rebaptisé finalement 'Dreamin' en single. Dans les semaines qui suivent, Status Quo met en boîte les derniers titres. Malgré la bonne nouvelle, Rick continue à boire. Ainsi, un jour, dans un état avancé, il se trompe de studio, se croit avec ses potes du Quo alors qu'il est avec le groupe, 'The Smiths' qui enregistre son propre album dans le studio d'à côté. Ca prendra un petit moment à Parfitt avant de s'apercevoir de son erreur. Le batteur, Mike Joyce relate ce moment : 'Un jour, nous sommes arrivés au studio et avons vu une énorme caisse de vin. On nous a dit d'enlever nos pattes de là-dessus, que c'était pour Status Quo qui enregistrait à côté. Le lendemain, la porte de notre studio était restée ouverte et Rick Parfitt est entré, titubant. Nous pensions qu'il venait nous saluer mais, en fait, il était si bourré qu'il pensait que nous étions Status Quo et ça lui a pris une bonne vingtaine de secondes avant de réaliser son erreur et de sortir en chancelant, le tout sans dire un mot !'. Les enregistrements se font dans une ambiance sereine où règnent l'alcool et la drogue. Néanmoins, l'album avance de façon régulière. La nouvelle se répand rapidement jusqu'en Australie où Lancaster travaille sur le prochain album. Le bassiste, bien évidemment n'est aucunement d'accord pour laisser sa place au sein du groupe. Au cours d'une conversation avec Rick, il lui promet de lui tordre le coup dès qu'il rentrera en Angleterre. Peu de temps après, Alan assigne Rick et Francis en justice pour les empêcher d'utiliser le nom en son absence. Il veut rester dans le groupe et se sent lésé. " Ca s'est passé très sournoisement ce n'est pas comme s'ils m'avaient dit : 'Ecoute, Alan, nous voulons nous séparer de toi, il ne me l'ont pas dit franchement, ils m'ont juste écarté'. souligne Lancaster. En cette fin d'année 1985, chacun se prépare à aller en justice, le point de non-retour étant franchi. Entre-temps, au mois d'octobre, la compagnie PRT publie une compilation de la période Pye intitulée 'Nanana'. En novembre, c'est la compagnie Castle Communications qui y va de sa compilation. Elle regroupe vingt-quatre titres de la période Pye et se nomme 'Status Quo - The collection'. Le mois suivant, la compagnie Old Gold édite deux 45 tours, le premier regroupe 'Caroline' et 'Down Down' et le second 'Rocking all over the world' et 'Paper plane'. En novembre, une nouvelle cassette vidéo issue du concert du Milton Keynesest éditée. Elle se nomme 'Preserved' et contient seulement six titres : '"Whatever you want"; "Hold you back"; "Rockin all over the world"; "Don't waste my time"; "What you're proposin'"; "Down Down".


Les concerts de l'année 1985


1. 13/07. Londres, Wembley stadium (Angleterre) 80.000.Concert Live Aid

Morceaux joués en 1985 : Rockin' all over the world, Caroline, Don't waste my time


Les passages télés


31.01.1985. Kangeruh (Allemagne) 'The wanderer'

25.01.1985. Pop Sjop (Pays-Bas) 'Rock'n'roll'

27.01.1985. Veronicas show (Pays-Bas) 'Rock'n'roll' et 'The wanderer'

13.07.1985. BBC (Angleterre) Live Aid



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